Cécile Coulo |
Oui, depuis quelques années, on parle des Prix littéraires, à Etonnants Voyageurs. En mêlant cet académisme à la « littérature-monde », à d’autres cultures littéraires, et, cette année à la World Alliance.
Cette année donc, j’avais mené une rencontre intitulée « Faut-il encore décerner des prix littéraires au XXIe siècle ? ». C’était le dimanche soir du festival, soit pile au même moment que la remise des prix au festival de Cannes.
Palmarès dont, réseaux sociaux et smartphones faisant, j’ai pou rendre compte en direct ! C’était en plein air, à la terrasse de l’Univers, une terrasse fréquentée par les festivaliers autant que par les touristes.Ce soir-là, il y avait du monde à l’Univers.
Cette rencontre était organisée par la chaîne France Ô, à l’occasion de la création de son nouveau… prix littéraire : le prix France Ô, premier du nom, sera remis cet automne. Il succède au prix RFO, qui a rendu l’âme après 16 ans d’existence.
Pour expliquer le pourquoi de ce prix, le patron de la chaîne, Claude Esclatine, était là. Entouré du parrain de ce prix, l’écrivain Alain Mabanckou (qui remporta le prix Renaudot en 2006). Autour de la table furent également conviés divers écrivains qui furent eux aussi primés : Léonora Miano, Carole Martinez, Patrick Rambaud et Dany Laferrière. Nous avions également conviée une jeune écrivain au palmarès à ce jour vierge de ces récompenses : la jeune et talentueuse Cécile Coulon.
Pour apporter un autre son de cloche : la journaliste Marianne Payot, de L’Express.
Pour ce débat de fin de journée, en extérieur, en public, et avec de si nombreux invités, j’ai mené cette table ronde sans aucun tabous : argent, connivences, reconnaissance, validation furent abordés.
Après « Consciences métisses, pensés nomades », « Mythologies américaines » et « Poor white trash », voici donc ce débat malouin en podcast (durée : une heure et huit minutes).
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